Le Cas Léon K.

Projection

En présence de Jérôme Prieur

Cette séance est accompagnée

EN AVANT-PREMIÈRE

France, documentaire, 80 min, La Générale de production - Arte France, 2024.

Le 27 août 1942, depuis le camp de Douadic (Indre), puis le lendemain, au camp de Nexon (Haute-Vienne), le jeune Léon Kacenelenbogen écrit deux suppliques au maréchal Pétain. Il lui crie qu’il a 20 ans et qu’il veut vivre. Arrêté lors de la rafle de la zone libre par la police et la gendarmerie française, il n’a commis d’autre crime que d’être un « représentant de la race damnée et condamnée ». Transféré au camp de Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), l’antichambre de Drancy, Léon réussit à s’enfuir. Il n’a jamais rien raconté. Hormis quelques traces officielles, rien ne reste de lui. Le film est parti à la poursuite de son ombre.

En présence du réalisateur.

En conversation avec Laurent Olivier, archéologue, chercheur associé au CNRS, conservateur en chef du patrimoine.

Avec le soutien de la Fondation pour la mémoire de la Shoah 

Mémorial de la Shoah

17 rue Geoffroy l’Asnier , 75004 PARIS

Payant

En savoir plus

Tarif

3 à 5 euros

Contact

contact@memorialdelashoah.org

Année : 2024

Durée : 80

Pays de production : France

Production : La Générale de production - Arte France

Le 27 août 1942, depuis le camp de Douadic (Indre), puis le lendemain, au camp de Nexon (Haute-Vienne), le jeune Léon Kacenelenbogen écrit deux suppliques au maréchal Pétain. Il lui crie qu’il a 20 ans et qu’il veut vivre. Arrêté lors de la rafle de la zone libre par la police et la gendarmerie française, il n’a commis d’autre crime que d’être un « représentant de la race damnée et condamnée ». Transféré au camp de Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), l’antichambre de Drancy, Léon réussit à s’enfuir. Il n’a jamais rien raconté. Hormis quelques traces officielles, rien ne reste de lui. Le film est parti à la poursuite de son ombre.

Organisé par

Mémorial de la Shoah (PARIS, Île-de-France)