Lotte Eisner – Un lieu, nulle part

Projection

En présence de

Cette séance est accompagnée

En présence du réalisateur et de Marie Bouquet, traductrice.

Animée par Fabienne Rousso‐Lenoir, réalisatrice.

MÉMORIAL DE LA SHOAH

17 rue Geoffroy l’Asnier , 75004 PARIS

Payant

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Tarif

5€ / 3€ tarif réduit

Informations complémentaires

À l’occasion de la parution de J’avais jadis une belle patrie. Mémoires de Lotte H. Eisner, propos recueillis par Martje Grohmann, traduit de l’allemand par Marie Bouquet, Marest éditeur, 2022.

projection du film "Lotte Eisner – Un lieu, nulle part"  de Timon Koulmasis

France, Allemagne, documentaire, 58 min, Acqua Alta ‐ Ilona Grundmann Filmproduktion, 2021.

Il y a quarante ans disparaissait Lotte Eisner. Issue d’une famille juive de la grande bourgeoisie berlinoise, première femme critique de cinéma au Film-Kurier, Lotte fuit l’Allemagne en 1933 et se réfugie en France où elle rencontre Henri Langlois et Georges Franju qui viennent de fonder la Cinémathèque française. Internée en 1939 au camp de Gurs, elle s’en évade. Durant la guerre, Langlois la cache dans un château où elle archive des bobines sauvées in extremis des mains de l’occupant.

À la Libération, elle devient la numéro deux de la Cinémathèque française et constitue, avec le musée du Cinéma, l’une des plus belles collections au monde.

En présence du réalisateur et de Marie Bouquet, traductrice.

Animée par Fabienne Rousso‐Lenoir, réalisatrice.

Contact

reservation@memorialdelashoah.org

Année : 2021

Durée : 58

Pays de production : France, Allemagne

Production : Acqua Alta ‐ Ilona Grundmann Filmproduktion

Il y a quarante ans disparaissait Lotte Eisner. Issue d’une famille juive de la grande bourgeoisie berlinoise, première femme critique de cinéma au Film-Kurier, Lotte fuit l’Allemagne en 1933 et se réfugie en France où elle rencontre Henri Langlois et Georges Franju qui viennent de fonder la Cinémathèque française. Internée en 1939 au camp de Gurs, elle s’en évade. Durant la guerre, Langlois la cache dans un château où elle archive des bobines sauvées in extremis des mains de l’occupant.

À la Libération, elle devient la numéro deux de la Cinémathèque française et constitue, avec le musée du Cinéma, l’une des plus belles collections au monde.

Organisé par

MÉMORIAL DE LA SHOAH (PARIS, Île-de-France)