Notre pain capital, #67, Deux Steaks bien tendres... s'il vous plaît !, Pa...

Dans les rues de Saint-Louis du Sénégal, Sani Elhadj Magori, étudiant en Master 2 à l'Université Gaston Berger, s'attache à filmer la chaîne alimentaire qui gravite autour du pain, de sa fabrication jusqu'au marché noir qui irrigue les réseaux de la mendicité.

Un film légumier et politique (de merde)

Sur un marché, un boucher vante sa marchandise à ses clients. Ailleurs, dans l'ombre des abattoirs, des bovins arrivent de leur pré pour y être abattus puis équarris.

"Il faut manger pour vivre..."
À partir de l'achat d'un morceau de viande sur l'étal d'un boucher, savons-nous ce qu'il s'est passé avant ? Le film propose au spectateur ces différentes phases, mais de façon particulière...

Quoi de mieux qu’un paysage de sandwich pour manger un sandwich ?

Voyage autour du sandwich et de son histoire. Si sa définition est simple : «tout ce qui tient entre deux tranches de pain», le sandwich contient tous les imaginaires ayant traversé les préoccupations alimentaires de l’humanité.

Le travail nocturne d'un boulanger et de son apprenti depuis l'allumage du four jusqu'à la sortie des premiers pains. Ce film presque sans dialogue analyse avec rigueur et sobriété les gestes de l'artisan.

Le pain est la base de l’alimentation de nombre de populations de par le globe. Il est considéré comme source de vie, considéré comme un objet sacré. Il m’est arrivé de servir au Caire, dans un restaurant dans lequel je travaillais, du pain si dur qu’il m’apparaissait davantage comme instrument de musique que propre à la consommation. Il produisait un son agréable comme un instrument. J’ai rassemblé quatre percussionnistes qui gagnaient leur vie en accompagnant des danseuses du ventre dans des boîtes et je leur ai demandé de troquer leurs instruments pour du pain. Il y avait là quelque chose d’intriguant à jouer de la musique avec cette source de vie.

Court métrage d’animation fantaisiste tout en couleurs, de Norman McLaren. Une poule tantôt Leghorn, tantôt Plymouth Rock, même un oeuf sur deux pattes, exécutent des quadrilles et des valses d’autrefois au son d’une musique populaire.